Hàng tente de gagner sa vie comme ouvrière dans une usine en URSS. Dans le train qui la conduit à Moscou, elle est appelée au chevet de son oncle malade, l’occasion pour elle d’une plongée dans un passé douloureux. L'oncle Chinh, membre zélé du Parti communiste, a été l'un des ardents serviteurs de la réforme agraire au Vietnam. La mère de Hàng, par piété fraternelle et par respect des traditions, n'a jamais osé s'opposer à son frère.